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Burn-out parental

Critiques, regards qui en disent long, jugements, convocations maîtresse, convocations directeur d'école, menaces de signalement, harcèlement... Estime de soi en berne, doutes, isolement, remise en question, troubles du sommeil, fatigue, manque de patience...

Dans votre rôle de parent : Critiques, regards qui en disent long, jugements, convocations maîtresse, convocations directeur d'école, menaces de signalement, harcèlement... Estime de soi en berne, doutes, isolement, remise en question, troubles du sommeil, fatigue, manque de patience...


Mais il faut avancer, il faut continuer à aider son enfant, à essayer de le comprendre, à trouver les solutions les plus adaptées, à prendre des rendez-vous avec les meilleurs spécialistes, à se rendre à ces rendez-vous malgré le travail / malgré l'école, à monter un dossier pour la MDPH, à se battre pour faire reconnaitre la différence de son enfant...


Sans oublier qu'il faut continuer de travailler comme si de rien n'était : il faut bien régler les honoraires des spécialistes, votre employeur compte sur vous, vous vous épanouissez à votre travail, vous avez des collègues super sympas, vous pouvez respirer un moment, mais vous ne voulez pas que vos absences pour les rendez-vous de votre enfant nuisent à l'entreprise alors vous vous donnez à 200 %...


Puis un jour, sans prévenir, trop c'est trop.

La fatigue l'emporte et on craque. L'entourage ne comprend pas, après tout, vous ne vous êtes jamais plaint, ayant peur d'être encore une fois jugé... Et, quelque part, vous avez honte de ce burn-out. Mais il n'y a pas de quoi avoir honte, c'est normal de craquer, vous avez toutes les raisons d'être épuisé physiquement, moralement et émotionnellement.


N'attendez pas que cela vous arrive, prenez soin de vous MAINTENANT ! Un papa ou une maman détendu(e) ce sont des enfants apaisés derrière !


J'ai connu la sophrologie suite à mon burn-out. J'ai appris à prendre du recul et à ne plus ruminer. J'ai donc pu redormir ! Dormir, me reposer, me POSER, c'était inimaginable quand j'avais passé 3 ans de ma vie à ne dormir que 3 heures par nuit !!!

Les critiques sont là mais je ne les entends plus comme avant. Il n'y a plus de convocations par la maîtresse car son opinion n'a plus autant d'importance. De ce fait, je ne "repunis" plus l'enfant, et il est plus serein, il n'a plus peur de se faire engueuler...


Faites-vous votre propre opinion et essayez la sophrologie pour vous, pour aller mieux et pour redevenir vous-même !

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